C’est fou le nombre de sujets qu’on peut découvrir quand on est entrepreneur, indépendant ou dirigeant d’une PME. Il me semble important de préparer tous ceux qui, un jour, se lanceront dans ce parcours de vie. Parce qu’il y a les sujets « cools » dont tout le monde parle et ceux qui sont, de prime abord, moins marrants car ils touchent des sujets sensibles comme la maladie, le handicap et même la mort. Ils sont pourtant fondamentaux.
Alors aujourd’hui, je vais parler de prévoyance. Parce que je n’y connaissais rien et que ma phobie administrative me faisait fuir le sujet. Quand je cherchais sur Internet, je me perdais dans des articles trop complexes. Merci à Swisslife, d’avoir bien voulu m’accompagner sur ce sujet.
Je vais tenter de faire le plus simple possible et de répondre aux questions que je me posais.
C’est quoi un contrat de prévoyance ?
On va commencer par la B.A.BA (clairement, je partais de 0 en créant mon entreprise). Le contrat de prévoyance offre des avantages aux employés en cas d’invalidité, de maladie ou de décès.
Dans les grands groupes, l’accord est négocié au niveau de l’entreprise entre le patronat et les syndicats. Quand on est indépendant ou quand on lance une petite entreprise, c’est à nous de le gérer.
Le contrat de prévoyance est obligatoire pour tous les employés en France, quel que soit leur domaine d’activité. En tant qu’entrepreneur, vous êtes responsable de la souscription du contrat de prévoyance pour vos employés et de son paiement.
Est-ce obligatoire si je suis indépendant ?
Les indépendants cotisent tous à un régime obligatoire pour une couverture « de base ». Le régime ne couvre pas tous les frais. Tout dépend donc de votre anticipation du risque.
Avec des métiers comme le mien ou d’autres, une mauvaise chute ou une maladie invalidante peuvent entrainer une totale cessation d’activité et mettre en péril la survie de mon entreprise.
J’ai vu bien trop d’entrepreneurs mettre la clef sous la porte ou ne pas pouvoir s’arrêter faute de ne pas avoir anticipé. On continue de travailler malade car « pas le choix ». On minimise la douleur, on refuse les arrêts maladie de son médecin, et la santé trinque.
On n’aime clairement pas y penser penser en amont… Mais réfléchir à son contrat de prévoyance complémentaire, c’est être plus serein.
Que garantit un contrat de prévoyance complémentaire ?
La couverture du contrat de prévoyance peut varier. Certains contrats peuvent ne couvrir que le décès, tandis que d’autres peuvent également donner des indemnités en cas de maladie et d’invalidités.
Alors comment choisir ? En fonction de vos besoins. Chaque entrepreneur, chaque dirigeant, chaque indépendant est différent…
Pour prendre l’exemple de Swiss Life, le régime de prévoyance complémentaire permet de maintenir tout ou partie du revenu de l’indépendant pendant un arrêt de travail, qu’il soit causé par une maladie ou un accident dans le cadre professionnel ou même dans le cadre de la vie privée.
A la suite d’un décès, Swiss Life verse aux bénéficiaires, soit un capital soit une rente viagère pour le conjoint et/ou une rente temporaire pour les enfants afin qu’ils poursuivent leur scolarité.
En plus des revenus de l’indépendant, le contrat de prévoyance propose également de couvrir, forfaitairement, les frais généraux de l’entreprise (loyers, salaires,…) pendant son arrêt de travail.
Aujourd’hui, j’ai envie de faire passer ce message : ne minimisez pas le sujet même si personne n’en parle.
Il est primordial de choisir le contrat qui s’adapte à sa situation spécifique !