📅 JEUDI 11 MARS | 13h30 – 14h30
Plus de 100€ par mois, c’est ce que coûterait le télétravail aux salariés qui restent chez eux selon un article récent du Parisien. Si les chiffres ne sont pas officiellement validés, le buzz incite nombre de salariés et de RH à s’interroger : l’entreprise doit-elle prendre en charge ces coûts ?
Le ministère du travail a tranché dans le guide du télétravail « l’employeur n’est pas tenu de verser à son salarié une indemnité de télétravail destinée à lui rembourser les frais découlant du télétravail, sauf si l’entreprise est dotée d’un accord ou d’une charte qui le prévoit ».
Et les actions sont très disparates d’une entreprise à l’autre : pour certaines, la période est temporaire et ce télétravail dégradé ne vise pas à se poursuivre dans la durée, mais simplement à protéger les salariés qui font faire des économies indirectes (transports, tenue de travail, …). Pour d’autres, il semble évident de financer les aménagements au domicile : dotation de doubles écrans, d’ordinateurs portables, fauteuils, sièges…
Mais alors, quelle est la norme ?
Stéphane Malherbe à la tête d’une entreprise de fournitures mais aussi d’accompagnement en aménagement des espaces de travail reviendra sur ces questions complexes.
Qu’en est-il de ses clients ?
Comment accompagner au mieux les collaborateurs ?
Quel parti-pris choisir ?
Si on évoque le repérage des risques professionnels, l’isolement en fait-il partie ?
Rendez-vous à cet atelier qui se veut un échange sans tabou et constructif.