On parle énormément de compétences douces aujourd’hui : Intelligence émotionnelle, créativité, adaptabilité, pensée critique…
Ces soft skills font la une des articles RH et occupent nos fils LinkedIn.
Mais il y a une compétence qu’on évoque peu dans nos stratégies carrière, alors qu’elle reste l’un des leviers les plus puissants pour l’employabilité, la mobilité interne et les promotions : l’anglais.
Au-delà d’être une langue étrangère, maîtriser l’anglais en 2025, c’est s’ouvrir un monde d’opportunités professionnelles concrètes et mesurables.
C’est aussi développer sa confiance en soi, sa résilience et sa capacité d’adaptation, ces fameuses soft skills tant recherchées. Explications.
Pourquoi on évite tous l’anglais ?
Soyons honnêtes : l’anglais nous fait peur.
Cette peur a même un nom : la glossophobie linguistique.
De nombreux chiffres le prouvent :
On a peur de l’accent qui trahit nos origines, des fautes de grammaire qui nous font passer pour des débutants, du regard des autres quand on bafouille.
Cette peur vient souvent de notre parcours scolaire où l’erreur était sanctionnée plutôt qu’encouragée.
Résultat ?
On s’auto-censure. On refuse les missions internationales, on décline les appels en anglais, on laisse passer des opportunités.
Les conséquences sont pourtant bien réelles…
L’impact sur la carrière : des chiffres qui parlent d’eux-mêmes
Les données sont sans appel et montrent à quel point l’anglais reste un investissement rentable pour sa carrière :
Recrutement et employabilité
Et quand l’anglais est demandé, la majorité des offres exigent un niveau B2-C1 correspondant à un anglais courant selon ETS Global.
Mais le plus frappant ?
32% des actifs français ont déjà renoncé à postuler à un emploi à cause de leur niveau d’anglais jugé trop faible et 35% des Français se sont déjà vu refuser un emploi, une mission ou une opportunité professionnelle pour cette même raison.
Impact sur la progression de carrière
85% des offres d’emploi de cadres supérieurs mentionnent l’anglais comme compétence requise ou souhaitée selon l’APEC en 2024.
Dans le secteur tech, ce chiffre monte à 94%.
Mais au-delà des salaires et des opportunités, il y a quelque chose de plus profond.
L’anglais, cette gym du cerveau qui forge le caractère
Au-delà des opportunités professionnelles directes, apprendre l’anglais développe des compétences transversales précieuses
💪🏻 On muscle sa résilience
Chaque conversation difficile, chaque présentation balbutiante, chaque « sorry, can you repeat? » nous apprend à rebondir après l’échec.
🚀 On booste sa confiance en soi
Réussir à se faire comprendre dans une langue étrangère, c’est un shot d’adrénaline incomparable. Cette victoire, même petite, se répercute sur tous les aspects de notre vie professionnelle.
🧠 On développe son adaptabilité
Naviguer entre deux langues, c’est jongler avec deux manières de penser, deux cultures. Cette flexibilité mentale est précieuse dans un monde professionnel en constante mutation.

Changer de perspective : l’anglais comme apprentissage, pas comme corvée
Notre équipe est la première à parler de l’importance des soft skills, mais si vous devez faire un choix stratégique pour booster votre carrière, nous vous conseillons de repenser votre rapport à l’apprentissage de l’anglais.
Il ne faut pas le voir comme quelque chose de rébarbatif, mais comme un parcours qui vous fait grandir.
La clé ? Trouver le bon accompagnement.

Comme vous nous demandez régulièrement des recommandations, nous avons testé pour vous : notre équipe s’est formée auprès du Cercle des Langues, centre de formation professionnelle spécialisée en langues étrangères.
Leur approche nous a convaincus parce qu’elle est particulièrement adaptée aux actifs.
Leur méthode ? Une plateforme de e-learning, des conférences en ligne, mais surtout un professeur dédié pour travailler sur VOS besoins : préparer cette présentation cruciale, enrichir votre vocabulaire technique, gagner en aisance lors des négociations.
C’est du sur-mesure, pas du one-size-fits-all (il fallait bien mettre un peu de jargon anglais!).
Votre apprentissage peut être financé par le CPF. Autrement dit, vous investissez dans votre avenir sans impacter votre budget personnel.
Si vous avez dans un coin de la tête cette idée qu’il serait bon de vous améliorer en anglais, nous ne pouvons que vous encourager : lancez-vous !
C’est l’un des investissements les plus rentables que vous puissiez faire pour votre avenir professionnel.
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Cet article a été rédigé en collaboration avec Le Cercle des Langues, qui accompagne les professionnels dans leur apprentissage de l’anglais avec une méthode centrée sur la confiance et la pratique. C’est l’organisme que notre équipe a choisi pour sa formation.